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Adnène Mansar défend la décision d’enseigner le Coran en été et traite ses détracteurs de malades

« La Tunisie bénéficie enfin d’un ministre des Affaires religieuses digne de ce nom », a écrit Adnène Mansar sur sa page Facebook aujourd’hui, jeudi 21 avril 2016. Revenant sur l’accord conclu entre les ministères des Affaires religieuses et celui de l’Education, quant à l’organisation de cours gratuits de Coran pour les élèves, le secrétaire général du mouvement Tounes Al Irada, a défendu cette décision affirmant qu’il s’agit d’une consécration de l’article 1er de la Constitution tunisienne.*

 

Tout en qualifiant les détracteurs de cette décision « d’extrémistes », Mansar affirme que certains « ont un problème avec la foi des Tunisiens » même s’ils en parlent « sous couvert politique ». « Ce sont des malades et l’Etat devra les soigner et les obliger à recevoir des soins permanents contre la bêtise », a-t-il ajouté s’adressant à ses adversaires politiques. Et d’ajouter : « Le terrorisme se faufile à travers l’incompréhension des gens de la religion et du livre saint, tout comme la bêtise se faufile dans les esprits malades qui refusent d’être soignés ». 

 

 

S.T.



 

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