La présidence de la République a publié, hier 4 avril 2025, un communiqué contenant une faute de conjugaison. La chose a eu lieu deux jours après que la présidence a notifié le journal Assabah d’une erreur de date. Le journal avait publié un avis expliquant la chose et s’excusant auprès de ses lecteurs.
Réagissant à cela, le producteur et homme de médias, Ameur Bouazza a écrit : « Contrairement à ce qui a été publié sur la page officielle de la présidence de la République tunisienne, la négation « ne » ne justifie pas la conjugaison du verbe au présent… Il aurait, donc, été plus juste que l’auteur du texte écrive « ne restera » ».
Il a appelé les personnes responsables de la gestion de la page de la présidence de la République à faire preuve de plus de vigilance afin d’éviter la retranscription par les historiens de ces fautes ou leur transmission aux générations futures.

L’erreur au niveau du communiqué de la présidence a suscité une multitude de réactions. Celles-ci oscillaient, généralement, entre critique et moquerie. Le journaliste et chroniqueur, Wissem Hamdi a réagi à la chose en faisant le lien avec l’avis publié par Assabah. Il a présenté la chose comme étant une rencontre s’étant soldée par un score d’un but partout entre la présidence et le journal.

S.G