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Report du procès de Ben Sedrine, Krichi, Chiboub et Korchid au 5 janvier

Par Sarra Hlaoui

La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière près le Tribunal de première instance de Tunis a décidé de reporter au 5 janvier 2026 l’examen de l’affaire visant l’ancienne présidente de l’Instance Vérité et Dignité (IVD), Sihem Ben Sedrine, l’avocat et ancien vice-président de l’IVD, Khaled Krichi, l’homme d’affaires Slim Chiboub, ainsi que l’ancien ministre des Domaines de l’État et avocat Mabrouk Korchid.

Selon les données judiciaires, la décision intervient après que la Chambre d’accusation spécialisée du même tribunal a ordonné le renvoi des quatre accusés devant la chambre criminelle pour être jugés dans une affaire liée aux conditions et aux procédures de conclusion d’un accord de réconciliation entre l’IVD et Slim Chiboub.

L’affaire porte sur les circonstances entourant la signature de ce compromis, conclu à l’époque où l’Instance Vérité et Dignité menait des processus d’arbitrage et de conciliation dans des dossiers économiques sensibles. Elle soulève des interrogations sur la régularité des procédures et d’éventuels manquements juridiques.

S.H

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Commentaire

  1. Citoyen_H

    17 novembre 2025 | 19h56

    IL Y A TOUTE UNE DIVISION DE SQUELETTES DANS LE PLACARD !

    « L’affaire porte sur les circonstances entourant la signature de ce compromis, conclu à l’époque où l’Instance Vérité et Dignité menait des processus d’arbitrage et de conciliation dans des dossiers économiques sensibles. Elle soulève des interrogations sur la régularité des procédures et d’éventuels manquements juridiques. »

    À lui seul, le paragraphe cité précédemment, révèle l’ampleur des arrangements conclus par la Mata Hari Tunisienne, SBS, et le reste des protagonistes ayant un passé aussi sulfureux que celle qui avait voulu dérober les archives des dossiers « secrets » de l’État, entreposés au palais de Carthage.
    Un très grand merci aux patriotes Hichem Gharbi (secrétaire général du syndicat de la garde présidentielle) et Taoufik Gasmi (directeur de la sécurité du président de la République et des personnalités officielles), qui brisèrent, net, l’élan de SBS dans ses opérations suspectes.
    Y avaient-ils des documents compromettants la concernant, qu’elle aurait bien voulu faire disparaitre, ou voulait-elle s’emparer, de documents concernant d’autres personnes ?
    Espérons que le jour où elle comparaitra devant le juge, avant l’an 3.000, le juge lui posera, entre autres, les bonnes questions à propos de cette opération, des plus inquiétantes !