Dans un climat déjà marqué par une recrudescence d’actes de vandalisme dans certains quartiers du Grand Tunis, un nouvel incident est venu raviver l’inquiétude des habitants de Djebel Jelloud. Dans la nuit de jeudi à vendredi, 21 novembre 2025, la découverte de véhicules et d’un point de vente de légumes incendiés a mobilisé les unités de sécurité et suscité l’émoi au sein de la population locale.
Mohamed Chokri Mannaï, membre du conseil local de Djebel Jelloud, est revenu sur les circonstances de cet incident survenu dans plusieurs quartiers à Djebel Jelloud — El Batha et El Garjouma — et à El Kabaria.
S’exprimant sur les ondes de Jawhara FM, dans l’émission Sabah El Ward de Hatem Ben Amara, il a avancé que les habitants avaient initialement soupçonnés un acte terroriste.
Une piste vite écartée. Il a précisé que l’auteur des faits avait agi à l’aube, avant d’être rapidement maîtrisé et arrêté par les forces de l’ordre, aux environs de six heures du matin, alors qu’il retournait de Djebel Jelloud à El Kabaria.
Âgé d’une cinquantaine d’années et sous l’emprise de stupéfiants, l’auteur a volontairement mis le feu a cinq véhicules garés devant les domiciles de leurs propriétaires ainsi qu’un point de vente de fruits et légumes.
L’incident a entraîné la destruction totale des véhicules et de l’étal de fruits et légumes.
Mohamed Chokri Mannaï a souligné que l’incendiaire ne nourrissait aucune inimitié particulière à l’égard des victimes et qu’aucune motivation autre que son état de consommation de drogues n’est pour l’heure retenue.
Il a affirmé qu’il s’agit d’un habitant du quartier, bien connu des riverains pour sa dépendance aux substances narcotiques.
N.J
Commentaire
Citoyen_H
RIEN DE PARTICULIER
Les effets de, ou des drogues, n’a fait que faire remonter à la surface, tel un volcan crachant sa lave, les caractéristiques fondamentales de l’ADN de ce consanguin introverti, issu certainement des innombrables tsunamis d’exodes ruraux post-bagla’liha.
Galou, nous voulons la doumoucrassie !
Ne cherchez pas midi à quatorze.
La violence, les actes de destructions gratuits et le vandalisme tous azimuts, composent l’oxygène de ces barbares.
Le très violent passage à tabac de la jeune lycéenne, la semaine passée, par quatre racaillettes label rouge, fait partie de la même famille d’actes odieux, que l’on voit régulièrement depuis la maudite année 2011 !!!!
Aucune pitié envers ces tueurs et ces destructeurs, nés.
Il est grand temps de passer ces rebuts par la moulinette d’une justice implacable.
Halte au laxisme de la justice.